« Ça suffit ! » par Jacques KUPFER
Co-président du Likoud Mondial, membre de l'Exécutif de l'Organisation Sioniste Mondiale.

La protection divine dont nous bénéficions, le génie de la technologie juive du « Dôme d’Acier » et le courage de nos soldats ne peuvent compenser ni remplacer une détermination politique qui semble faire défaut et une direction gouvernementale faible.

Nous parlons en hébreu à des barbares criminels qui ne comprennent que l’arabe. Les 150 à 200 missiles quotidiens lancés par le Hamas sur Israël sont destinés à tuer. Le commando maritime des terroristes arabes qui a tenté de pénétrer sur le territoire israélien, était destiné à tuer. Pour ces fanatiques du Coran, peu importe qu’ils tuent mais de préférence leurs tirs sont dirigées sur des villes où les femmes, les enfants et civils risquent d’être atteints.

Dans cette bande de Gaza où sont distribuées des friandises pour célébrer un drame en Israël, où les enfants sont éduqués dans la haine la plus féroce par des maîtres musulmans fanatiques, où les programmes télévisés exaltant le meurtre des Juifs, où la population a voté unanimement pour le Hamas, où les défilés militaires sont quotidiens avec des volontaires pour devenir « martyrs », je ne vois pas de « civils innocents » mais des ennemis à éliminer.

C’est pourquoi, j’aimerais que l’on m’explique pourquoi nous avons laissé le temps aux terroristes de Gaza de se procurer ou de fabriquer des milliers de missiles sans intervenir. J’aimerais comprendre pourquoi encore aujourd’hui nous envoyons par le poste-frontière de la nourriture et des biens d’équipement dans la bande de Gaza.

Pourquoi nous envoyons des centaines de milliers de tracts et d’appels téléphoniques pour dire à l’ennemi d’abandonner ses maisons avant le bombardement.

Si je dois choisir entre le fait de détruire tous les missiles et de laisser vivant ceux qui les envoient, je préfère que les missiles rouillent sur place mais qu’il n’y ait plus personne pour les manier.

Lorsque les alliés ont voulu mettre un terme à la guerre contre l’Allemagne nazie, ils ont détruit la ville de Dresde. À juste titre. Lorsque les États-Unis ont voulu mettre un terme à la guerre contre le Japon ils ont détruit Hiroshima et Nagasaki en lançant la bombe atomique. À juste titre. Si nous voulons mettre un terme à la guerre, nous devons raser Gaza.

Gaza doit devenir un champ de ruines d’où ne peuvent sortir que des gémissements.

Si un seul instant, la protection divine et le soutien de notre technologie cessaient de s’exercer, nous aurions à pleurer un véritable désastre. Nous devons considérer ce que l’ennemi a voulu faire et non pas ce que nous l’avons empêché d’exécuter. Nous devons considérer que les centaines de missiles envoyés sur toute l’étendue de notre territoire ont touché les cibles qu’ils étaient destinés à toucher. Notre réaction doit être proportionnelle à leur intention et non pas à la réussite de notre défense.

Nos trois jeunes garçons massacrés par les terroristes arabes méritaient une opération militaire immédiate car il était clair, dès le deuxième jour de leur enlèvement, qu’une issue tragique était vraisemblablement intervenue. Pourquoi attendre ? Pourquoi devons-nous supporter davantage qu’un seul missile sur Israël avant de détruire l’ennemi ? Pourquoi attendre le centième missile avant de réagir ? Ce qui semble être de la retenue occidentale civilisée pour notre gouvernement, n’est que le signe d’une immense faiblesse pour les Arabes. Nous devons réagir à la première fusée lancée contre Israël comme s’il y en avait eu 1000. Nous devons réagir aux 1000 fusées lancées contre notre territoire comme si elles avaient toutes touché leur cible.

Nous sommes en guerre contre des barbares et nous devons parler un langage qu’ils comprennent.

Un T-shirt publicitaire résume fort bien la pensée populaire : « Seul D.ieu peut pardonner aux terroristes. Notre mission est de permettre le rendez-vous ! » Notre capacité à effectuer des frappes chirurgicales est certainement la meilleure du monde. Certainement davantage que celle des avions alliés exécutant les invités d’un mariage en Afghanistan, des hôpitaux en Serbie ou des emplacements civils à Tripoli.

Mais le problème aujourd’hui n’est plus celui d’une opération chirurgicale mais d’une ablation totale.

Nous payons le prix de notre retrait malheureux de nos soldats de la bande de Gaza, la destruction des maisons juives et de nos synagogues, Nous sommes en guerre contre un État nazi soutenu par sa population et par une idéologie islamiste criminelle.

Il est évident que nul Juif ne peut se satisfaire de bombarder des hôpitaux. Mais les stocks de fusées sont entreposés dans les mosquées, les hôpitaux, les écoles de l’ONU.

Entre la certitude que ces missiles seront sortis de ces places protégées par nos principes humanitaires et la possibilité qu’elles touchent un enfant en Israël, mon choix est évident. Que soient détruits leurs hôpitaux, leurs écoles et leurs mosquées mais que soit protégée notre population. Les Gazaouis comprendront rapidement qu’il n’y a plus d’asile pour leurs armes et leurs chefs cesseront de se servir d’eux impunément comme « bouclier inhumain ».

La condamnation des Nations unies, les cris des gauchistes dans le monde seront les mêmes. Ils montrent les photos truquées de nos destructions, autant en faire de vraies !

Une guerre doit se terminer par une victoire. L’ennemi doit lever le drapeau blanc et demander la fin des hostilités à genoux. Les pressions extérieures et notre manque de persévérance nous ont toujours empêchés de mettre l’ennemi à terre. Ce n’est pas un cessez-le-feu qu’il faut atteindre mais une reddition totale. Cela signifie de pouvoir dicter nos conditions quant au contrôle complet de tout ce qui rentre et qui sort de Gaza et en particulier, la destruction de toutes leurs armes, de leurs missiles et même de leurs armes blanches.

Dans de telles conditions ça suffit d’entendre nos journalistes et nos médias faire preuve de compassion pour l’ennemi. Ça suffit de les entendre demander en permanence quel est le coût de cette opération. Ça suffit de les entendre pleurer sur les éventuelles victimes arabes dans ce conflit. Ça suffit de vouloir plaire au monde civilisé occidental qui ne sait pas ce que cela signifie de dire à un enfant d’aller se terrer dans un abri.

Pour chaque larme d’un enfant juif obligé encore aujourd’hui de rentrer dans un abri, l’ennemi doit payer le prix du sang.

Si l’opération terrestre est complexe à exécuter et si la vie d’un seul soldat juif devait être mise en danger alors c’est à l’armée de l’air de raser Gaza. Si cela ne sera pas fait maintenant, nous aurons à tout recommencer une quatrième fois.

Que Gaza devienne un site archéologique.

Jacques KUPFER

P.S. A mes amis de France, aux Juifs de notre communauté qui demandent de nos nouvelles, je dirais que c’est pour eux que nous nous inquiétons. Alors venez avec nous écrire le grand livre de l’Histoire éternelle d’Israël.

http://www.europe-israel.org/2014/07/ca-suffit-par-jacques-kupfer-betar/

NB : Jacques KUPFER avait déjà appelé à "vitrifier l'Iran". Voir texte plus bas.

Gaza doit pleurer

Ma confiance dans les actions de Tsahal et la détermination de nos combattants n'est pas exempte de méfiance envers ce gouvernement et les raisons profondes de notre intervention. Ceux qui ont accepté le transfert forcé des Juifs du Gouch Katif, la destruction des implantations sionistes sur la Terre d'Israël sans mentionner la deuxième guerre du Liban, ne me paraissent pas les mieux placés pour sauvegarder notre avenir. L'opération actuelle de Tsahal aurait du être réalisée dès le tir du premier Kassam. Autoriser dans l'impavide attente qu'un deuxième missile soit tiré contre Sderot a ouvert la voie au lancement de 8000 missiles sur toutes les villes avoisinant Gaza. Le soutien à l'opération "Plomb durci" qui est sans réserve ne doit pas empêcher de considérer que les préoccupations électorales des trois personnages déjà cités ont peut être pesé autant que le souci longtemps oublié de défendre la population d'Israël, de restaurer notre force de dissuasion et rétablir notre honneur national.

La certitude que notre opération militaire sera couronnée de succès est tempérée par la crainte que les decisions politiques risquent une fois de plus de priver Israël d'atteindre les buts recherchés.

Mon inquiétude provient du fait que certains dans l'actuelle équipe dirigeante étaient prêts à un nouveau cessez-le-feu avec les terroristes arabes et c'est finalement l'ennemi qui nous a poussé à la seule option restante qui aurait du être la première réalisable. Si le but de la guerre en cours est d'obtenir un cessez-le-feu, ce ne saurait être qu'une trêve plus ou moins longue. La tumeur à sa naissance peut être traitée par une intervention circonscrite mais laisser la tumeur se développer et devenir un cancer généralisé nécessite une opération définitive.

Le but d'une guerre ne peut en aucun cas être un cessez-le-feu. Il peut être la reconquête d'un territoire et il doit être la victoire sur l'ennemi, sa reddition et la destruction de toute possibilité adverse de nuire. L'ennemi doit subir une défaite telle que même l'imaginaire arabe ne puisse en faire une victoire. Si après la trêve, une seule roquette Kassam est encore tirée depuis Gaza, les terroristes verront la situation comme une victoire. Certes, on nous présentera un éventuel cessez-le-feu comme garantissant la sécurité des habitants du sud d'Israël et on nous affirmera encore une fois qu'au moindre missile, nos forces interviendront!

Pour que notre victoire soit réelle et efficace, un sentiment de défaite et de désespoir doit submerger Gaza et tous ses habitants. Ils doivent ressentir la perte non seulement de leurs "martyrs" qui partent retrouver les vierges au paradis, mais la douleur de la vie quotidienne comme résultat de leur soutien au Hamas et de leur haine viscérale d'Israël.

La guerre contre des barbares assoiffés de sang ne peut être soumise à des lois civilisées. Nous menons un match de boxe anglaise où nous respectons des règles strictes avec une main liée derrière le dos par le regard attentif d'un arbitre partial face à des équipes qui utilisent pieds, poings et armes. Ils tirent sur nos villes et nous ouvrons des passages "humanitaires" pour leur fournir de quoi s'alimenter et se soigner. Ils utilisent les ambulances, les écoles et les mosquées comme lieux de guerre et nous veillons à organiser des frappes "chirurgicales" précises.

Nous devons stopper tout convoi "humanitaire" et n'autoriser exceptionnellement leur passage qu'en échange de Guilad Shalit vivant et en bonne santé. Que la population de Gaza meure de faim et sache que c'est par la faute du Hamas si ce dernier ne veut pas libérer notre prisonnier.

Il est certain qu'une victoire ne s'obtient que par l'entrée de forces terrestres sur l'espace tenu par l'ennemi. Il est pourtant regrettable de voir nos soldats risquer leurs vies pour conquérir des bâtiments et les fouiller. Que l'aviation et les bulldozers rasent des agglomérations serait préférable et que nos journalistes cessent de parler de victimes innocentes gazaouies. Ils ont voté Hamas, défendu le Hamas, participé aux manifestations de haine, ont lancé des cris de joie pour chaque attentat criminel réussi. Ils ne sont pas plus civils et certainement pas plus innocents que les habitants d'Hiroshima ou de Dresde.

Nous devons également clairement déclarer que ceux qui font moult moulinets et s'agitent au Proche Orient pour établir un cessez-le-feu font un acte parfaitement inamical. Certains personnages politiques ne le comprennent pas encore en Europe. S'il faut attendre qu'un Kassam ou une Katioucha soit tiré de Barbes ou de Seine Saint Denis sur l'Opéra ou le Trocadéro à Paris pour qu'ils comprennent, prenons patience. Il n'y a pas longtemps à attendre!

Si le Hamastan persiste après la guerre, ce sera un exemple suivi par les terroristes arabes dits "modérés" de Judée Samarie. Ce sera surtout un encouragement à la cinquième colonne arabe en Israël qui possède la nationalité israélienne. Il est impensable de continuer à permettre à des étudiants arabes parvenus dans nos universités à Jérusalem et Haiffa grâce à la discrimination positive, de manifester en faveur du Hamas. La preuve est faite que ces ennemis de l'intérieur qui prennent la place des enfants d'Israël, qui bénéficient de tout ce que notre société démocratique et parfois masochiste leur accorde, ne deviennent pas des adeptes de la coexistence comme le pensaient nos doux rêveurs. Ils deviennent nos pires adversaires car, nous connaissant parfaitement, ils exploitent notre amour de la liberté contre nous. Ces étudiants et ces manifestants arabes contre notre armée doivent être traités sans ménagement et expulsés du pays.

Toute autre attitude que celle d'une absolue fermeté sur tous les fronts est interprétée par les arabes comme des signes de faiblesse et attise leur espoir de pouvoir nous détruire. Si nous sommes partis du Gouch Katif et avons détruit toute présence juive sioniste, si nous avons crée une zone d'Israël "judenrein", pourquoi ne quitterions nous pas Sderot, Ashkelon ou Ashdod? Notre prochain gouvernement devra proclamer que le temps des concessions est définitivement révolu et alors, peut être aurons nous la possibilité d'un avenir de sécurité.

Israël et le peuple Juif se retrouvent une fois de plus aux avant-postes de la guerre contre la barbarie et le terrorisme. Israël et le peuple juif doivent vaincre.

C'est pourquoi Gaza doit pleurer. Pas faire semblant pour les télévisions étrangères mais réellement. Gaza doit pleurer des larmes de sang.

Jacques Kupfer

http://www.likoud.fr/index.php?option=com_content&task=view&id=58

VITRIFIER L’IRAN…par Jacques Kupfer

Parmi tous les dangers qui guettent Israél et parmi tous les ennemis qui œuvrent à sa destruction ou en rêvent, l’Iran est certainement le péril le plus menaçant. Sa volonté désormais avérée même pour les sceptiques d’acquérir le nucléaire militaire, impose à Israël et à ce qui reste éventuellement du monde civilisé, une action défensive et préventive. Certains théoriciens voudraient nous faire croire que l’équilibre de la terreur permet d’éviter toute confrontation. C’était peut être le cas d’une certaine façon entre l’Occident et le bloc soviétique où l’équilibre créé par des armes de destruction massive était dissuasif pour les deux parties. Cette logique n’est pas applicable pour un pays musulman où n’existe aucune rationalité et où l’esprit d’analyse est embué par une religion-idéologie de conquête et de guerre. Les musulmans peuvent trouver dans l’islam la volonté de devenir tous des martyrs et de déclencher une destruction catastrophique qui sera une « guerre sainte ». Ils peuvent estimer, et d’ailleurs ils en sont persuadés, que la mort de centaines de milliers de « shahid » pour prix de la destruction d’Israël reste une opération viable. Une fois disparu le rempart que représente Israël pour la défense d’un occident émasculé et inconscient, l’invasion de l’islam pourra régler le sort de l’Europe anciennement judéo-chrétienne.

Il est évident et les impuissances occidentales le répètent à longueur de discours, qu’il faut empêcher l’accession de l’Iran à la capacité nucléaire militaire. Ils le répètent mais ne feront rien comme ils n’ont rien fait de réel jusqu’à maintenant. L’Europe qui est née à Munich n’est pas morte à Auschwitz. Elle perdure et son histoire est parsemée de compromissions et de renoncements.

Daladier a laissé son empreinte et les métastases du quai d’Orsay ont rongé ce qui restait de sain à l’Elysée.

Les sanctions…

Les sanctions économiques ont eu l’effet d’une piqûre de moustique sur un missile blindé et n’ont même pas ralenti la progression iranienne. Seul un virus venu à point nommé et le taux de mortalité curieusement élevé parmi les ingénieurs iraniens ont permis de ralentir la marche vers l’apocalypse islamique.

L’Europe continuera à pondre des déclarations creuses, inutiles et surtout inefficaces, Obama continuera de tout faire pour freiner Israël et permettre ce qui pourrait être son véritable dessein de doter l’Islam d’une puissance nucléaire.

Le peuple juif, dans sa partie consciente, sait le tribut payé pour ne pas avoir cru de suite aux menaces à son encontre. Ne pas avoir cru aux discours tenus à Berlin a causé au peuple d’Israël un holocauste et au monde un cataclysme sanglante et effroyable.

Ne pas croire aux imprécations de l’Adolf de Téhéran ne pas écouter la traduction de ses discours, ignorer ses promesses et ses menaces, oublier les foules en délire dans les rues iraniennes vociférant contre Israël et l’Occident, risque de nous mener au désastre.

La presse ne cesse de décrire les difficultés que représenterait une attaque aérienne israélienne pour détruire l’infrastructure nucléaire iranienne. Un nombre impressionnant d’avions de chasse et de bombardiers, le ravitaillement en vol, les bombes capables de percer les bunkers enfouis au plus profond, les radars et la défense anti-aérienne, les réactions des alliés iraniens dans la région ! Tout cela sans oublier les dizaines et centaines de milliers de missiles, roquettes et obus aux mains des terroristes du Hezbollah, du Hamas et de l’OLP. Tout cela sans discourir sur la cinquième colonne et ces arabes qui se jucheront sur les toits pour espérer voir pleuvoir les obus sur Israël.

Supposons qu’Israël ait assez de cerveaux, assez de volonté et d’expérience militaire pour pouvoir accomplir une attaque indispensable. Toutes ces théories et ces exposés des difficultés inhérentes à la destruction du potentiel létal iranien, ne font que refroidir les ardeurs et servir les intérêts des défenseurs de l’Iran et de ces pacifistes toujours prêts à être vaincus.

L’arme nucléaire…

Il existe pourtant un autre langage que nous pourrions utiliser. Imaginons un instant qu’Israël soit doté de l’arme nucléaire !

Il est évident que l’utilisation d’une bombe atomique serait parfaitement concevable en cas de danger mortel planant sur Israël.

Imaginons encore une déclaration de source « autorisée » affirmant que, si Israël disposait de l’arme nucléaire, il l’utiliserait contre l’Iran. Mieux encore, il l’utilisera contre l’Iran. Apres tout, vitrifier l’Iran serait dans la lignée de la destruction justifiée de Hambourg et Dresde aux mains des nazis, de la destruction d’Hiroshima et Nagasaki aux mains des alliés japonais du Reich.

Gageons qu’une telle « fuite » aurait des effets bénéfiques immédiats.

« Mein Kampf » et le Coran…

Tout d’abord le rat de Téhéran irait se terrer dans le puits le plus profond emportant avec lui son livre de chevet « Mein Kampf » avec le Coran et la photo de Khomeiny à Neauphle-le Château. Les puissances occidentales, après avoir condamné Israël et tenté de lui lier les mains, commenceront vraiment à agir pour éliminer le péril atomique iranien de manière concrète. Non pas pour le salut d’Israël mais pour éviter un embrasement qui leur fait peur. Il est même probable que les avions israéliens se verraient ouvrir certaines bases plus rapprochées de la cible et qui lui restent fermées pour le moment à condition d’oublier toute option nucléaire. L’Onu et ses Ban ki Moon voteront des résolutions déclarant que l’usage de la bombe atomique sera condamné. Autant les déclarations belliqueuses et antisémites d’Ahmedindjad (ou d’un Mahmoud Abbas) ne provoquèrent quasi aucune réaction car il est « concevable » de vouloir détruire le peuple juif quand on est arabe ou musulman, autant cette petite phrase israélienne suscitera un tollé général. Et pourtant, la vitrification de l’Iran doit être prise en compte et si nécessaire pour notre existence, doit être effectuée.

L’Occident a toujours eu à choisir entre un arabe fanatique et barbare et un bon juif civilisé et sage. Le choix était évident pour gagner la tranquillité d’esprit : calmer le barbare. Mais si le choix sera entre ce même barbare et un Juif furieux, déchainé et capable de prouesses technologiques, on peut estimer que les chancelleries choisiront de calmer le plus dangereusement efficace. Si seulement l’Etat d’Israël avait une bombe atomique…et des dirigeants capables d’exploiter son existence ! Bien sûr, la meute des loups hurlera.

Et le silence se fera quand le Lion de Juda rugira.

Jacques Kupfer.

http://www.israel7.com

http://www.terrepromise.net/archives/612